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Fleurs contre mauvaises herbes (De Aiman, Elies et Martin)

IL était une fois, dans un jardin, des fleurs. Parmi elles, Rose la rose qui habitait dans un palais de buis pointus ; c’était la reine. Un jour, elle n’arriva pas à sortir de chez elle :
-Mon dieu ! cria la reine, qu’est-ce que c’est ?
C’étaient des ronces qui voulaient s’introduire dans les buis afin de voler des boutons de roses.
-A la garde ! fit la souveraine.
Coccinelles et pucerons accoururent au secours de leur majesté. Soudain, victoire, la mauvaise herbe s’échappe de la bagarre. Aucune mauvaise herbe n’avait jamais osé s’aventurer ici. Le conseil devait se rencontrer. Il y a Fanny le buis architecte, Philipe la tulipe professeur et Lola la graine. Ils parlent de mettre des remparts, Fanny y va ; il faut fermer les écoles ; Philipe s’en occupe ; il faut aussi semer des défenses ; un travail pour Lola. Une fois tout le monde occupé, il faut attendre.
Quand c’est terminé, la reine passe voir les défenses de Fanny, les futurs soldats de Lola et les écoles fermées. Une fois cela vérifié, tous les soldats disponibles montent la garde chacun à leur tour. Il faut entrainer les soldats de Lola, les nourrir avec de l’engrais et tester leur force. Une fois cela fait, les soldats se placent autour des remparts et montent la garde. Dès que leur adversaires ont vu tout ça, ils se sont immédiatement préparés, eux aussi : en aiguisant tous leurs piques ou en préparant des bottes de terre qui serviront de projectiles.
Une fois prêtes, les mauvaises herbes commencent à attaquer et les fleurs donnent le signal de défense et les soldats défendent le palais pendant que tout le monde se met à l’abri dans les labyrinthes de buis, puis dans le palais. Maintenant, ils n’y a plus qu’à espérer que les fleurs gagnent. Des météorites de terres écrasent un bout du labyrinthe et cela aide les mauvaises herbes car elles ne connaissent pas les plans. Grâce à cela, les mauvaises herbes reprennent l’avantage. Heureusement pour elles, les fleurs sont bien armées : des épines, des épées et des arcs. Peu à peu, elles arrivent à repousser l’ennemi et gagnent la bataille.
Victoire !!!!!!!!!!! Crient les fleurs, nous avons repoussé l’ennemi !!!!!!!!
Ce qu’il faut retenir, c’est que la paix n’est jamais infinie et qu’un jardin restera indéfiniment car aucune bataille n’est perdue.

Auteurs :
Martin Aiman Elies